Étape 1 : Embarquer et élargir le cercle…

​A Vandoeuvre-lès-Nancy comme dans les autres territoires, la phase de diagnostic a croisé entretiens avec des agents, élus, associations pour comprendre l’organisation interne (comment fonctionne le Conseil Citoyen, le Conseil Local du Développement Durable, les conseils de quartier, etc. ?), balade urbaine pour appréhender le territoire et ses usages, visualiser les futurs plans d’aménagement comme le lancement de la Ligne 1 du Trolleybus, etc. Cette phase a aussi été l’occasion de mobiliser en interne autour de la démarche Territoires en commun, de passer d’une phase de crainte (notamment en termes de temps mobilisé) à une appropriation collective. « La montée en puissance du dispositif et la construction de l’équipe projet se sont faites par étape. Au début ce n’était pas assez formalisé, et pour être en interface avec l’ensemble des services, ce n’est pas évident. »

Étape 2 : S’inspirer d’ailleurs

En mars, les quatre territoires se retrouvent à Kaysersberg pour partager les diagnostics. Ce premier temps collectif depuis le lancement du programme, est l’occasion de croiser les questions, mais aussi de s’inspirer des démarches de territoires un peu pionniers, chacun à leur manière… « Les retours d’autres expériences comme la Fabrique saillisienne ou la démarche de Transition écologique à Echyrolles, nous ont donné des idées pour la suite ! Nous avons le projet d’y faire un voyage d’étude avec le maire. »

Étape 3 : Être concret… à petits pas !

Comment mener des premiers tests, pour améliorer l’approche de la participation des habitants et gagner en légitimité ? « L’atelier avec les associations a été très constructif, on est passé du langage conceptuel de « aller vers » à la discussion autour de projets avec des partenaires de MJC, etc. ». De la même manière, « la déambulation avec le triporteur a montré la facilité que les gens avaient à venir et à parler, et j’ai senti que cela prenait une réalité concrète et positive, on devenait visibles, audibles et légitimes auprès des collègues ». De premières expériences comme des “preuves de concept” pour inspirer les futures actions!

Étape 4 : Un plan d’action, pour prendre du recul et tester des modes d’échange au plus près des habitants

Pour Vandoeuvre, Territoires en communs a permis de prendre du recul sur les nombreux dispositifs de participation existants, ainsi que sur l’organisation interne. Le plan d’action permet ainsi d’appuyer la redéfinition du pilotage et la gouvernance de la démocratie participative. Les actions projetées cherchent quant à elles à expérimenter de nouveaux modes d’aller vers les habitants de quartiers politique de la ville, au plus près de leur lieux de vie et de leurs problématiques, afin de les dans la transformation de leur quartier.

Étape 1 : Embarquer et élargir le cercle…

​A Vandoeuvre-lès-Nancy comme dans les autres territoires, la phase de diagnostic a croisé entretiens avec des agents, élus, associations pour comprendre l’organisation interne (comment fonctionne le Conseil Citoyen, le Conseil Local du Développement Durable, les conseils de quartier, etc. ?), balade urbaine pour appréhender le territoire et ses usages, visualiser les futurs plans d’aménagement comme le lancement de la Ligne 1 du Trolleybus, etc. Cette phase a aussi été l’occasion de mobiliser en interne autour de la démarche Territoires en commun, de passer d’une phase de crainte (notamment en termes de temps mobilisé) à une appropriation collective. « La montée en puissance du dispositif et la construction de l’équipe projet se sont faites par étape. Au début ce n’était pas assez formalisé, et pour être en interface avec l’ensemble des services, ce n’est pas évident. »

Étape 3 : Être concret… à petits pas !

Comment mener des premiers tests, pour améliorer l’approche de la participation des habitants et gagner en légitimité ? « L’atelier avec les associations a été très constructif, on est passé du langage conceptuel de « aller vers » à la discussion autour de projets avec des partenaires de MJC, etc. ». De la même manière, « la déambulation avec le triporteur a montré la facilité que les gens avaient à venir et à parler, et j’ai senti que cela prenait une réalité concrète et positive, on devenait visibles, audibles et légitimes auprès des collègues ». De premières expériences comme des “preuves de concept” pour inspirer les futures actions!